Passés les émois du lancement de son blog, il faut bien entrer dans le vif du sujet. C’est là que les choses se compliquent!
Mettre du texte sur des photos, facile à dire, encore faut-il trouver le ton juste, un ton personnel qui saura accrocher le lecteur, histoire qu’il ne t’oublie pas dans ton coin de pays après le premier clic. Avec certaines images, je me suis bien rendue compte que le risque est grand de sombrer dans le premier degré gnangnan ou de se la jouer intello prétentieuse. Et c’est en préparant mon repas d’hier que j’ai réfléchi aux passerelles qui me permettraient d’éviter de m’enliser dans un tel bourbier.
Si, dans ma cuisine, je n’ai pas trouvé de recette toute faite, j’ai néanmoins dégagé ces quelques pistes:
- être authentique et ne pas s’endormir sur ses
roseauxlauriers;
- illustrer ses propos d’un zeste d’abstraction;
- Et offrir aux lecteurs un peu d'évasion…
Ah, au fait, elle vous plaît ma plage
Je trouve ces photos très belles ! C'est une idée ça, un week end à la mer ...
RépondreSupprimerTu commences fort ! ces photos sont splendides. Tu as vraiment du talent, bravo !
RépondreSupprimerAlors là, je suis tout à fait d'accord ! J'adore ces passerelles entre le texte et l'image ! :)
RépondreSupprimerTu nous promets décidément de bien bons et beaux moments ...
La suite ....
J'aime beaucoup les mots utilisés pour commenter tes photos ou inversément les photos choisies pour illustrer tes mots !
RépondreSupprimerMerci de ta visite ... je découvre ton tout jeune blog avec plaisir.
Une romande en plus... c'est pas légion dans la blogo ... et si je ne me trompe pas, fribourgeoise qui plus est ?!
Je vais reviendre, comme on dit aussi parfois par ici.
Où as-tu pris les photos de la passerelle ? Ca m'intrigue !!!
Parismage: merci beaucoup! C'est vrai qu'on se croirait à la mer, manque juste un brin d'air iodé...
RépondreSupprimerLululike: oh, j'ai surtout une très bonne prof. et beaucoup à apprendre :-)
Laurence: aïe, tu me mets terriblement la pression là!
Vero: et bien merci à toi d'être passée par là. Toutes les photos ont été prises au nouveau port de Gletterens, au bord du Lac de Neuchâtel.L'endroit vaut vraiment le détour.
Un coin que je ne connias pas. Ca me donne des idées pour les vacances de cet été que nous passerons à vélo à travers la Suisse.
RépondreSupprimertrès belles ces images, et ce bleu qui nous change du week-end :)
Je suis d'accord avec toi, c'est souvent difficile de trouver une "cohérence" à tout ça.
RépondreSupprimerEn tout cas, les photos sont magnifiques et me donnent envie de revenir voir ton blog :-)
Sarah: des vacances en vélo, quel courage! Pour se baigner après l'effort, c'est l'idéal.
RépondreSupprimerMy Oneshot Style: bienvenue et merci :-) Je vais moi aussi aller découvrir ton univers que je ne connais pas encore.
Super belles ces photos!
RépondreSupprimerBises
Difficile en effet de trouver sa voie, aussi bien sur la blogo qu'ailleurs. Faire assez sans en faire trop est un équilibre délicat...Jolies photos!
RépondreSupprimerTes photos sont magnifiques!
RépondreSupprimerJe suis tombée sur ton blog un peu par hasard, et je le trouve carrement envoutant!
Mimis tout plein
voilà une facette que je ne connaissais pas de toi.. tu es bien mystérieuse ma p'tite maman.. Mais laisse moi te dire que je suis sous le charme de ton blog et de ton travail, dommage que je le découvres une fois que je suis loin de toi.. =(
RépondreSupprimertu me manques beaucoup maman, je t'aime tout simplement
Je viens ici suite à ton com laissé chez moi... AU sujet des blogs. Je n'ai jamais eu d'autre intention que celle de dire avec plaisir, même si il s'agit de douleurs, pas que du bonheur, pas que du lisse, je ne recherche pas le succès. Ecrire, dessiner, photographier, chanter, danser, sont le résultat d'une nécessité, toujours! celle de la vie. Laisser une trace, un besoin chez moi, je n'en comprends pas toujours le sens. Bonne journée, Spiruline.
RépondreSupprimerPS: notre point commun est que je suis suissesse romandesse aussi. Voilà, j'avais envie de le dire aujourd'hui. Des Bises+++
PS2: j'ai quitté "le pays" il y a 13 ans et je reviens rarement. Une sensation d'exil parfois tout de même, plus de là-bas, pas d'ici non plus.
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